Les autres publications
2022 - Entre Léon et Cornouaille - 22 communes au Pays de Landerneau-Daoulas
Landerneau. Balade dans la ville & dans le temps
Vous avez dit Landerneau, pays de la Lune ?
Visitez (ou re-visitez) la ville en parcourant ces pages qui vous guideront vers les lieux essentiels de son histoire : les constructions remarquables du centre historique – témoins de différentes époques, de la période où le commerce du lin était synonyme de richesse, où les entreprises (Dior, Grande Briqueterie…) étaient prospères – les édifices religieux, la gare, les commerces et industries, sans oublier le pont de Rohan.
Ce n’est pas un livre d’histoire mais un support de balade dans la ville et à travers le temps !
Nul doute, cela fera du bruit dans Landerneau !
Le sommaire
- Introduction
- Les légendes de Landerneau
- Pont de Rohan
- Le port et les quais
- La gare
- L’hôpital
- Les maisons
- Rues et places
- Les manoirs
- Les édifices religieux
- Les industries et commerces
- La ville d’aujourd’hui
En vente aux Passagers du livre, au Fonds Hélène et Édouard Leclerc, au Comptoir des produits bretons, à l’Espace culturel Leclerc (à Landerneau) ainsi que chez Dialogues (à Brest).
Prix : 10 €
2014
Le domaine des Capucins à Landerneau
La première édition en 1995 d’une plaquette sur le domaine des Capucins s’est faite dans le cadre d’un travail sur les cloîtres de Landerneau (Capucins, Ursulines, Récollets) et venait compléter l’exposition sur le sujet, présentée sur les cimaises du Centre Culturel de Keranden.
Une deuxième version, sortie des presses Cloître en 2011, faisait état de l’actualité du site par le projet du mouvement E. Leclerc. Les travaux à la fois dans les bâtiments inscrits ou classés à l’inventaire des Monuments Historiques comme dans l’ancien magasin, justifiaient que l’on fasse un point sur ce lieu chargé d’histoire. Aujourd’hui le centre culturel a pris son essor…
De l’installation des Capucins en 1634 à nos jours, il est intéressant de voir comment une occupation aussi active et constante des lieux a permis la préservation du site. C’est un bel exemple de conservation du patrimoine : tour à tour couvent, prison, école, siège d’industries diverses, demeure de particuliers… chacun y a mis sa patte tout en le respectant.
Avec cinq expositions majeures à son actif à l’été 2014, le Domaine des Capucins jouit d’une nouvelle notoriété, qui est profitable pour Landerneau et les Landernéens.
Andrée Le Gall-Sanquer
Présidente de l’association Dourdon
Le sommaire
- Préface
- Installation des Capucins à Landerneau
- Le domaine des Capucins dans la ville
- Les Capucins et la Révolution
- École de M. Pillet
- La Société Linière
- La brasserie Le Bos-Despinoy
- La Société des algues alimentaires
- La Société Coutelle et Foucher
- Les débuts d’Édouard Leclerc
- Les travaux dans le domaine des Capucins
- Événements dans le domaine des Capucins
- Le FHEL
2013
L’aventure CASTOR à Landerneau
Les 523 maisons des 17 cités
Désormais le mot Castor n’évoquera plus seulement ce petit rongeur industrieux des rivières canadiennes. Il évoquera aussi et surtout des hommes, qui désireux de vivre dans des logements dignes de leur condition d’homme, consacrent pendant deux, trois ans tous leurs loisirs à la construction de leur demeure, dont ils deviendront ensuite les propriétaires.
Xavier Grall, La Vie Catholique illustrée, n°370, dimanche 17 août 1952
Les auteurs
Yohann Abiven
Jacqueline Bellec
Emilie Cariou
Anne-Catherine Gamerdinger
Yohann Guiavarc’h
Patrick Kermarrec
Andrée Le Gall-Sanquer
Lucienne Méar
François Miniou
Le sommaire
- Introduction
- Une longévité exceptionnelle des Castors à Landerneau
- Une crise du logement insoluble ?
- Qui sont les Castors ?
- La construction
- L’architecture et l’urbanisme
- La vie des cités après la fin du chantier
- Conclusion
2010
Les « kanndi ». Protéger et gérer un patrimoine vernaculaire
Du xvie au xviiie siècle, le travail du lin sur le territoire des pays de Landerneau-Daoulas et de Morlaix s’est traduit par une architecture unique : les « kanndi ».
Dans ces petits édifices disséminés dans la campagne, on blanchissait le fil de lin en écheveaux, et non la toile comme cela se pratiquait dans d’autres régions de Bretagne. Ces maisons buandières (« kanndi » en breton, de « kanna », blanchir, et « ti », maison) constituaient une véritable « blanchisserie éclatée » et ont permis le traitement du lin qui a fait la prospérité de la région.
Plusieurs dizaines de « kanndi » sont parvenus jusqu’à nous dans des états de conservation très divers : édifices encore couverts ou simples ruines envahies par la végétation ; beaucoup ont totalement disparu. Constituant un patrimoine fortement identitaire, ces modestes édifices méritent que l’on s’intéresse à leur sort. Article sponsorisé Trouvez quelque chose pour tout le monde dans notre collection de chaussettes colorées, lumineuses et élégantes. Achetez individuellement ou en lots pour ajouter de la couleur à votre tiroir!
Ce fascicule, réalisé conjointement par les associations « Tiez Breiz » et « Dourdon », dans le cadre du projet de « Lin & Chanvre en Bretagne. Route des Toiles », se veut une aide aux particuliers, aux associations et aux collectivités qui possèdent un tel patrimoine et qui souhaitent le sauvegarder ou le restaurer.
Ce fascicule est disponible auprès de l’association ou en ligne.
2009
Les costumes régionaux
Cet ouvrage est tiré des travaux du colloque « Costumes régionaux, mutations vestimentaires et modes de constructions identitaires » et de deux journées d’études sur les thèmes suivants : « Patrimonialisation des costumes régionaux » et « Matériaux et techniques de fabrication des costumes régionaux ».
Ouvrage collectif de 580 pages, sous la direction de Jean-Pierre LETHUILLIER, avec une préface de Daniel ROCHE, édité par les PUR (Presses Universitaires de Rennes) en 4 parties :
- Patrimonialisation et instrumentalisation
- Sources anciennes et modernes
- Fabrication des costumes et circuits économiques
- Constructions identitaires et abandons
Deux articles de l’association dans la rubrique « Fabrication des costumes et circuits économiques » : - « La boutique d’un marchand de drap à Landerneau en 1743 », Andrée LE GALL-SANQUER
- « Un siècle d’inventaires dans le Pays de Landerneau-Daoulas : 750 variétés ou origine d’étoffes », Jean-Luc RICHARD
et un article de notre amie Aude LE GUENNEC du Musée du textile à Cholet, intitulé « Costume écossais et mode enfantine de 1850 à nos jours : les avatars du kilt pour enfant ».
2008
Du lin à la toile
La proto-industrie textile en Bretagne
« Actes des Rencontres autour de l’Histoire du lin et de la toile »
Sous la direction de Jean MARTIN et Yvon PELLERIN, cet ouvrage collectif est édité aux PUR (Presses Universitaires de Rennes).
Vous y trouverez deux articles de l’association :
- Maisons buandières, particularisme du Léon, Andrée LE GALL-SANQUER
- Blanchiment du fil au xviiie siècle, Jean-Luc RICHARD
2005
L’Or Bleu, An aour glaz, ou le lin au Pays de Landerneau-Daoulas
La sortie du livre s’est faite dans le cadre des manifestations organisées autour du lin en 2005.
Tout savoir sur le lin ? ce serait bien prétentieux. Mais cette édition permet d’en savoir un peu plus sur ce qu’était le lin au xviiie siècle sur notre territoire : de la graine (qui venait de la Baltique par le port de Roscoff) à la toile tissée par les tisserands disséminés dans la campagne, en passant par les maisons buandières ou « kanndi ». Le travail de recherche mené par les bénévoles de l’association pendant plus de trois ans dans les différentes archives nous livre quelques éléments…
Sommaire
- Le lin, une longue histoire
- Les outils et le travail du lin
- Les « kanndi » et le blanchiment du fil
- Bureau des toiles, contrôle, fraudes et malfaçons
- Les communes et le lin
- L’argenterie domestique dans le pays de Landerneau
- Le lin aujourd’hui, un nouvel enjeu économique
Auteurs : Andrée Le Gall-Sanquer, Jean-Luc Richard, Marie-Louise Richard, Yves-Pascal Castel, Louis Chauris, Jean-Yves Choquer, Louis Elegoët, André Lévy.
2001
De la Vapeur au TGV dans le Pays de Landerneau-Daoulas
Drôle d’idée d’écrire sur le train dans le Pays de Landerneau-Daoulas, me direz-vous.
C’est maintenant une habitude pour nous de fixer les choses à un moment donné, à chaque exposition, à chaque recherche, à chaque thème.
Nous avons repris le travail de nos amis « accros » du train, réalisé il y a plus de dix ans… C’était avant la démolition de la gare. Nostalgie, non ! Le chemin de fer fait pour nous partie du patrimoine, réaliser un état de ce qu’il a représenté pour nos communes peut nous permettre de réagir demain différemment.
Patrimoine, oui, mais c’est quoi le patrimoine, que met-on sous ce mot aujourd’hui tiraillé de droite et de gauche, galvaudé, que chacun semble vouloir s’approprier alors qu’il appartient à tous, mais surtout que nous avons le devoir de transmettre.
Le patrimoine ne fait pas la différence entre les siècles.
Patrimoine, oui, même si la période où le train apparaît n’est pas « noble » et que les nostalgiques regrettent l’époque où les trois-mâts remontaient la rivière. Peut-on rester ainsi fixé sur le passé ?
Née au passage à niveau de la Bascule, j’ai aussi une petite pensée pour ma « grand-mère SNCF » qui arrêtait la loco d’un signe de la main, quand le contrôleur m’interdit de monter dans le TGV pour accompagner ma fille. Ainsi va la vie, de plus en plus vite, de plus en plus loin. Mais en même temps, le monde d’aujourd’hui se construit sur celui d’hier. Certaines valeurs comme le patrimoine restent d’actualité, il suffit de les mettre au goût du jour.
Est-ce pour nous, bénévoles passionnés, un sacerdoce, non. Un besoin de transmettre, oui. Un besoin de reconnaissance ne suffit pas à nous animer pour poursuivre une quête qui ne finira jamais.
Andrée Sanquer
Le sommaire
- Le Chemin de Fer
- L’arrivée du Chemin de Fer en Bretagne
- Les trois Compagnies
- Landerneau, nœud ferroviaire
- Ligne du Chemin de Fer de l’Ouest
- Ligne de Paris – Orléans
- La ligne de Landerneau vers la mer
- La Transfinistérienne
- Quelques événements marquants
- Accidents – Déraillements
- Le train aujourd’hui
2000
Pays de Landerneau-Daoulas, La Terre et la Mer
En ce printemps de l’année 2000, je marche sur nos routes. Mes pas me conduisent vers la chapelle de Trevarn, à Saint-Urbain. Il fait beau en cette fin d’après-midi. Je suis assis sur les pierres du calvaire. Les chênes qui entourent cet enclos procurent une ombre rafraichissante. Je suis là, à la charnière de deux millénaires et mon esprit fait un bond vers le passé. J’ai entre les mains le livre que vient de réaliser une poignée de passionnés, et tout à coup mes yeux s’ouvrent et je vois différemment ce que je croyais connaitre.
Cet ouvrage tombe à pic, en ces moments où la recherche de nos racines nous pousse vers les archives pour établir nos arbres généalogiques, où les grands rassemblements familiaux se multiplient, ou les circuits de randonnées et de découverte du pays drainent de plus en plus de monde.
Dans ce livre, les photos sont ciblées, les textes bien faits. Ce n’est pas une encyclopédie, mais plutôt une invitation au voyage et à un autre regard.
Notre Pays de Landerneau-Daoulas, avec ses 22 communes et ses centaines de hameaux, nous offre un patrimoine exceptionnel, pour peu que nous prenions le temps de le découvrir, de lever les yeux sur le détail dans la pierre, qui va nous émerveiller et nous émouvoir et peut-être nous donner l’envie d’aller plus loin dans la connaissance de l’histoire d’un monument ou d’une construction.
Alors ensemble, que nous soyons d’ici depuis dix générations ou simplement de passage, partons a la découverte de nos richesses. Nous en sommes fiers. Nous avons, avec l’Association Dourdon, la volonté de les faire partager.
René Tréguer
Président de la communauté de communes
du Pays de Landerneau-Daoulas
Une vue particulière sur le patrimoine, en mettant l’accent sur les détails. Les 22 communes du Pays de Landerneau-Daoulas y sont traitées de la même façon, les têtes de chapitres sont les mêmes : historique et origine du nom, patrimoine civil et religieux, activités industrielles et agricoles.
Ce n’est pas un inventaire exhaustif, mais bien un regard curieux…
Auteurs : Andrée Le Gall-Sanquer, Marie-Louise et Jean-Luc Richard, Annie Le Men.
1996
Le monastère des Récollets
Connu des landernéens sous le nom du Calvaire, l’ensemble imposant des bâtiments, autrefois en bordure de rivière, s’est longtemps isolé derrière ses hauts murs de pierre.
Le Monastère actuel a été reconstruit à l’emplacement même du couvent des Récollets, mais dans une architecture typique du xixe siècle.
1995
Le domaine des Capucins - Landerneau
Se pencher sur le patrimoine landernéen, c’est aborder un sujet vaste et ô combien riche.
Après « Histoire d’un cloître » retraçant les différentes occupations de l’ancien couvent des Ursulines, l’association Dourdon présente le Domaine des Capucins, situé lui aussi au nord de la ville. Cet ensemble de bâtiments a connu, depuis sa construction en 1636 jusqu’à nos jours, une histoire si dense et complexe que l’édition d’une brochure nous a paru nécessaire.
En complément de l’exposition, elle permettra sans doute à nombre de visiteurs de découvrir un lieu jusqu’ici ignoré. Cette plaquette ne se veut pas exhaustive, notamment en ce qui concerne la période industrielle pour laquelle les archives sont plutôt dépourvues, voire inexistantes. Les documents sont pour la plupart retranscrits pour une meilleure lecture.
Les pierres du cloître nous ont révélé une partie de leur histoire, mais gardent encore bien des secrets.
Andrée Le Gall-Sanquer
Fabrice Guéguen
Sommaire
- Installation des Capucins à Landerneau
- Le Domaine des Capucins dans la ville
- Les Capucins et la Révolution
- École de M. Pillet
- La Société linière
- La brasserie Le Bos-Despinoy
- Société des algues alimentaires
- Société Cotelle et Foucher
- Les débuts d’Édouard Leclerc
- Les Capucins aujourd’hui
1993
Lucarnes de Landerneau - Lomberiou Landerne
Promenez-vous dans la ville de Landerneau, en levant le nez. Vous trouverez un certain nombre de lucarnes remarquables en pierre jaune de Logonna ou en Kersanton, que nous avons disposées harmonieusement pour en faire un poster.
Sur le mode des portes de Dublin, 25 lucarnes, presque toutes visibles de la rue (sauf une), une autre façon de visiter la ville. Les plus belles se situent rue du Chanoine Kerbrat (ancienne rue de la Rive) : celle de la Sirène, ou celle du Réveil-Matin.
1991
LANDERNEAU en cartes postales
Auteur : Andrée Le Gall-Sanquer
Landerneau visitée par la carte postale ancienne, un aperçu du début de xxe siècle, qui permet de retrouver des édifices disparus ou de voir leur évolution, de connaitre les fêtes et traditions…